Les bruissements d’ailes d’un papillon peuvent avoir des répercussions jusqu’à l’autre bout du monde.
Pas besoin d’aller aussi loin pour vérifier cet adage.
Il y a juste à observer nos mondes intérieurs pour vérifier cela.
Un événement peut influer sur tout notre équilibre. Ce n’est même pas vraiment l’événement, mais plutôt l’interprétation qu’on en fait, la perception qu’on en a. Avez-vous déjà observé combien les interprétations, les perceptions d’un événement peuvent être différentes d’une personne à l’autre ?
Une morsure de chien peut créer une aversion chez certains et une petite frayeur sans conséquences chez d’autres.
Je le savais déjà tout ça, et c’est en apprenant le processus neurolink que je suis allée à leur rencontre dans nos tissus.
À l’intérieur de nous, dans nos corps s’expriment des stigmates d’interprétations de situations plus ou moins récentes. On pourrait les imaginer comme des nœuds apparus dans nos tuyauteries.
Certains datent de notre toute petite enfance et peuvent entrer en résonance, s’allier avec d’autres qui seront plus récents.
Des chapelets d’informations reliées les unes aux autres par une trame similaire.
La bonne nouvelle, c’est que lorsque tu désactives « le chef », tous les autres peuvent alors aussi perdre de leur intensité.
C’est certain que plus, on avance en âge, plus nos chapelets s’enrichissent de perles multiples et variées.
Se récitent alors à notre insu ces poésies d’autres temps, narrateurs de notre histoire personnelle.
Nous collectionnons ces colliers qui emplissent, ralentissent nos systèmes, notre corps, distorsionnent nos émotions.
Des traces vivantes témoins d’un passé qu’on pensait parfois éteint.
La bonne nouvelle, c’est que si l’on enlève une perle du chapelet, d’autres suivront dans cette échappée.
La seconde bonne nouvelle, c’est que plus on propose cela tôt à nos enfants, plus on allège leurs colliers rapidement et définitivement.
Chapelets libérés, corps allégés, plus concentrés, têtes et cœurs apaisés et disponibles pour d’autres aventures moins automatisées.
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